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La colle en pot Cléopatre – Colle amande

Parfois, j’ai l’impression de me revoir à la table ronde de ma classe de maternelle en train de faire de gros pâtés avec mon pot de colle qui possédait un petit couvercle coloré. J’avoue même que parfois je mangeais cette colle, mais j’ai cru comprendre que je n’était pas le seul 🙂

Cette colle est née en 1930 dans un pot en aluminium mais ce n’est qu’en 1963 qu’elle connait sa forme définitive avec spatule et son emplacement dans le pot.

Son odeur unique à l’amande nous enivrait! comment l’oublier? Faites le test : achetez en une et sentez-la, les souvenirs liés à cette odeur réapparaissent par magie!

Aussi mythique soit elle, la belle épopée connait un déclin avec l’arrivée massive des bâtons de colle à la fin des années 1980. Aujourd’hui, les nouvelles générations d’écoliers sont davantage marquées par les bâtons jaunes UHU.

Sachez également que vous pouvez fabriquer une colle du même type tout simplement avec de la farine et de l’eau !

Pour ceux qui souhaitent rire, vous pouvez lire cet article: Drogues – Un programme gouvernemental pour aider ces adultes encore accros à la colle Cléopâtre

Et pour ceux qui souhaitent partager leurs souvenirs, vous pouvez écrire un commentaire ci-dessous !

Fred

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Jeu de l’élastique

Un jeu mythique de la cour d’école pour nous les filles !

regles-jeu-elastiqueAvec 2 copines, ou entre 2 chaises, l’idée était de sauter dedans ou dehors (voir même sur l’élastique) en chantant une comptine. Plus on réussissait et plus on montait l’élastique (cheville, genou, taille).

Un jeu simple en apparence mais qui demandait plus d’habilité et d’endurance qu’on le pense.

Et si vous faisiez le test ? Vous en sentez-vous capable ? (je vous conseille les 2 chaises plutôt que les 2 amies, si vous ne voulez pas trop avoir l’affiche)

Céline

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Spirograph

La promesse du Spirograph est qu’avec ou sans talent artistique, tous les enfants peuvent produire des chefs-d’œuvre abstraits. Ce jouet géométrique a été introduit dans le monde lors d’une expo de jouets en 1965. Kenner Toys surent déceler le potentiel quand ils l’ont vu et ont acquis les droits de commercialisation aux Etats Unis, depuis il est devenu un grand classique de nos jouets.

Alors, comment ça marche?

C’est simple. Il suffit de sélectionner un petit cercle cranté, de choisir une de ses perforations pour y glisser la mine de son crayon et de le faire tourner dans un des cercles (qui lui doit rester immobile).

Pour ma part, ce n’était pas si simple, car soit je sautais des crans, soit ma feuille bougeait et donc ma forme n’était pas des plus réussies… Je n’étais qu’un garçon 🙂 Donc je retournais jouer aux petits voitures…

Vous avez passé des heures à dessiner avec Spirograph? Si c’est le cas, postez un petit commentaire 🙂

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Tortues Ninja : Les Chevaliers d’écaille (1987-1996)

La version des dessins animés Tortues Ninja que nous aimons chez NostalGift, c’est la première de 1987 bien sûr. Depuis, de nombreuses versions sont sorties et celle que nos enfants regardent actuellement est déjà la 4ème version…

Si vous étiez fan vous avez certainement collectionné les images afin de compléter l’album Panini, accroché des pin’s sur votre banane et vous avez surtout passé des heures sur votre NES ou Game boy en leur compagnie!

Les Tortues Ninja sont à la base un “comic” qui a cartoné aux Etats-Unis, il a donc été très vite imaginé une version dessin animée. Nous allons vous remémorer l’histoire de nos Tortues Ninja en dessin animé.

La première version en dessin animé raconte l’histoire d’Hamato Yoshi alias Splinter, qui était maître d’un clan Ninja, appelé les Célestes, basé au Japon… Trahi par un de ses disciples (Shredder) et déshonoré, il part se réfugier à l’autre bout du monde pour recommencer une nouvelle vie, à New York. Mais sans argent, il est contraint de se réfugier dans les égouts, et vie en la compagnie des rats, ses seuls amis.

Plus tard, Splinter découvre 4 bébés tortues tombées dans un produit mutagène suite à un accident. Les prenant en pitié, il les tire du liquide et les recueille, s’exposant lui-même à la substance chimique. Sous l’effet du produit, les quatre tortues mutent peu à peu, jusqu’à développer un aspect et une intelligence humaines. Splinter quant à lui ayant touché des rats, l’agent mutagène a pour effet de le transformer en rat aux proportions humaines. Il devient alors le père adoptif des tortues, qu’il élève et entraîne aux arts martiaux afin qu’ils puissent survivre. Passionné par l’histoire de l’art, les tortues mutantes sont baptisées de noms d’artistes de cette époque : Michelangelo, Leonardo, Raphael et Donatello.

Les tortues sont chacune spécialisées dans l’utilisation d’une arme précise (les Ninjatōs par Leonardo, les saï par Raphael, le bō par Donatello et les nunchaku par Michelangelo) et elles portent des bandanas qui sont propre à chaque tortue (le bleu pour Leonardo, le mauve pour Donatello, le rouge pour Raphael et l’orange pour Michelangelo).

Schredder qui souhaite terminer son travail entamé au Japon sur notre pauvre Splinter, rejoins nos 5 héros à New York et s’entoure de Bebop, Rocksteady et de l’extra-terreste Krang. Mais il faudra maintenant qu’il compte sur les alliés de Splinter: les Tortues Ninja qui sont elles maimes aidées de la journaliste de Channel 6, April O’Neil qui porte une incroyable combinaison jaune moulante!

Vous vous souvenez d’autres produits dérivés “Tortues Ninja” ? Vous avez réussi a terminer le jeu sur votre NES alors n’hésitez pas à laisser un commentaire 🙂

Et si vous êtes fan, n’hésitez pas à vous abonner à la box génération 80 Homme NostalGift car nous n’hésiterons pas y inclure les “Tortues Ninja” .

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Le Bandana

C’est un accessoire de mode popularisé en France par un chanteur rebelle. Cet accessoire (en général rouge) a lui même une connotation de rebellion, vous avez deviné de quel accessoire il s’agit ?

Et oui, nous parlons du bandana, il est l’accessoire obligatoire d’une garde robe dans les années 80. Qu’il se place sur la tête de façon traditionnelle, autour du cou ou du bras, il faut en avoir un.

MarcheAlombre

1980, Renaud lance son album “Marche à l’ombre”. Sur la couverture de la pochette de l’album, on voit une photo de lui en noir et blanc et le seul élément coloré est son bandana rouge. Grâce à cette pochette, le bandana est devenu un accessoire de mode grand public et incontournable.

C’est un tissu carré en coton le plus souvent (ou cachemire, parfois) avec des motifs paisley, également appelés motifs cachemire (comme par hasard ;)). Pour notre bandana des années 80, ces motifs étaient blancs sur un fond bleu ou rouge.

Le bandana ne date pas seulement des années 80, il était déjà porté par les paysans sévillans aux 18ème siècle et les colons espagnols ont exporté cette mode en amérique. Cette mode a perduré jusque dans les années 70, où des communautés très différentes l’utilisaient pour différentes raisons :

  • Les guitaristes des groupes de rock l’utilisaient autour du poignet pour ne pas avoir froid. Ainsi il devint une symbole pour les rockeurs.
  • Les homosexuels l’utilisaient également pour faire passer des petits messages aux potentiels “intéressés” via la position et le couleur du bandana.
  • Enfin, les gangs l’utilisaient également comment moyen de communication ou d’identification.

Vous en portez toujours un ou vous en avez un dans votre placard ? N’hésitez pas à nous le dire.

Fred

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J’aime lire

Ce petit magazine rouge avec sa mascotte BonneMine marque les enfants depuis 1977, date de son arrivée dans les kiosques. Il est édité par Bayard Presse qui édite aussi d’autres magazines de notre enfance comme Pomme d’api, Astrapi et Okapi.

J’aime lire comprend un roman, les jeux de Bonnemine et des bandes-dessinées.

Dans les années 80-90, c’est surtout la partie bande dessinée qui nous intéressait avec les aventures de Tom-Tom et Nana. Leurs histoires eurent tellement de succès que la Bande Dessinée fut éditée pour les librairies. La famille Dubouchon eu même le droit à une adaptation en dessin animé.

J’aime lire existe toujours d’ailleurs et compte toujours plus de 2 millions de lecteurs malgré la disparition de Tom-Tom et Nana, remplacés depuis par de nouveaux héros, Ariol et Anatole Latuile. Vous pouvez donc abonner vos enfants à ce magazine, je suis sur que ca (vous) leur fera plaisir.

Quelles histoires ou bandes dessinées de ce magazine vous ont marqué? Dites-le nous dans les commentaires 🙂

Fred

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La Coupe Mullet

C’est LA coupe des années 80. Toutes les vraies stars en avait une. Quand je dis vraies stars, je pense à Chuck Norris, Hulk Hogan et Mc Gyver par exemple. Cette mode touchait le monde de la musique avec Bono (U2), George Michael, David Bowie ou Phil Collins et les joueurs de foot : Tony Vairelles, Franz Beckenbauer, Chris Waddle… Nos images Panini s’en souviennent encore.

Cette coupe consistait à avoir une coupe classique de face (oreilles dégagées) et une coupe de vrai rebelle à l’arrière (cheveux longs) et si vous étiez un vrai fou-fou, vous pouviez teindre vos cheveux à l’arrière afin de ressembler à votre rock star préférée.

Les petits garçons de cette époque ne pouvaient bien sûr pas se faire de telles coupes, ils leur restaient donc la “petite queue” sur la nuque que les parent adoraient demander au coiffeur.

De nos jours, cette coupe n’est vraiment plus à la mode et est l’objet de dérision. Malgré tout, certaines stars s’y sont essayés tel que Cristiano Ronaldo au début de sa carrière…

Si vous avez porté cette coupe, n’hésitez pas à nous envoyer votre photo afin d’illustrer notre article.

Fred

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Les petits carrés

A partir du collège, on commence à sélectionner les cours qui ne nous intéressent pas mais auxquels il faut faire acte présence pour éviter un mot des parents… Pendant ces cours, il faut donc trouver une occupation. Si son camarade de bureau est de la même humeur, c’est qu’il est le moment de faire un petit jeu sur papier. L’un de ces jeux est le jeu des petits carrés.

Le but du jeu pour les 2 adversaires est identique, il sagit de tracer le plus grand nombre de carrés. Avant de commencer il faut tracer sur une feuille quadrillée un grand carré (20 x 20 par ex). Le jeu se déroule ensuite ainsi : chaque joueur trace un trait sur le quadrillage, celui qui trace le dernier trait du carré a gagné le carré et inscrit son initiale à l’intérieur (ou colorie de la couleur de son stylo), de plus il rejoue immédiatement.

Personnellement, je me souviens du début de la partie qui est assez pénible car il y a peu de chance de faire un carré. Quand arrivait le moment de pouvoir faire les petits carrés, cela devenait par contre assez expéditif.

Et vous, vous avez des souvenirs de ce jeu ?

Fred

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Le facteur n’est pas passé

C’est le jeu classique de primaire, avec un facteur qui livre des colis et une chanson qu’on a tous en tête.

Les règles du jeu et la chanson varient un peu selon la région où vous êtes. Pour moi, qui vivait sur Paris, le règles étaient les suivantes. Tout d’abord, il faut un colis, il s’agissait le plus souvent d’un bout de tissu et un facteur désigné parmi les enfants. Ensuite, les enfants se placent assis en cercle et chantent les yeux fermés. La chanson dont je me souviens est “1 heure le facteur n’est pas passé, 2 heures le facteur n’est pas passé, 3 heures etc…” le nombre d’heures s’incrémentait jusqu’à ce que le facteur crie “Il est passé !” après avoir déposé son colis. A ce moment là, tout les enfants regardent si ils ont reçu le colis. Si le colis est reçu, le facteur doit vite être attrapé par celui qui a reçu le colis avant que le facteur lui prenne sa place.

En me remémorant les règles, 2 souvenirs me reviennent:

  • La petite tension quand je chantais en attendant de savoir si j’allais être celui qui allait recevoir le colis de la part du facteur.
  • Le facteur avait toujours la fâcheuse tendance de commencer à courir dès qu’il avait posé le colis, il était donc assez facile de savoir si le colis était derrière soit.

Vos règles étaient différentes ? N’hésitez pas à nous le dire dans les commentaires,

Fred

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Les billes

C’est un grand classique des jouets de la cour d’école, qui touche toutes les générations. Traditionnellement, c’est plutôt les garçons qui y jouent mais les filles peuvent y jouer aussi. Il s’agit des billes.

D’après les historiens, les billes ont presque toujours existé, en effet, on en trouve des traces en Grèce antique, chez les Romains ou encore chez les Egyptiens. Ce n’est pourtant qu’au 15ème siècle que des règles du jeu sont définies mais de façon orale.

La façon classique de jouer aux billes consiste à lancer des billes à tour de rôle dans un trou à l’aide de son doigt. Si le joueur réussit il rejoue, s’il ne réussit pas c’est à l’autre. Le joueur qui fait rentrer sa bille et celle de son adversaire gagne.

Pour moi, dans le années 80, la principale utilité de ces billes étaient de gagner de nouvelles images pour compléter mon album Panini. Pour gagner l’image Panini, il fallait que l’adversaire place son image contre le mur puis avec ma bille il fallait que je fasse tomber son image sur le sol. J’avais 2 ou 3 coups pour l’emporter et si je n’y arrivais pas, l’adversaire pouvait repartir avec ma bille :(. Je devais être plutôt doué car j’ai encore chez moi un gros lot d’images pour lesquelles mes parents ne m’avaient jamais acheté d’album.

L’autre jeu, pour moi, était bien sûr de les échanger avec mes petits camarades qui avaient tous des façons différentes de calculer la valeur de chaque bille selon les motifs du verre.

Si vous vous souvenez de la façon de calculer la valeur des billes ou si vous avez joué aux billes d’une façon différente, n’hésitez pas à nous le dire dans les commentaires ci-dessous.

Fred